Chakras before karma

⭐ Life isn’t about waiting for the storm to pass, it’s about learning to dance in the rain ⭐

Pour un retour en douceur, j’avais envie de partager avec vous quelques réflexions, rien de très concret, pas une revue produit, pas un bilan, juste des pensées qui ont pu traverser mon esprit ces derniers mois et vous expliquer par la même occasion pourquoi « Chakras before Karma » est le nouveau titre de ce blog (shoot out to la douce Claudia !).

Ils ont été très agités, d’ailleurs, ces derniers mois. Je suis passé par beaucoup d’états, un véritable yo-yo émotionnel comme je n’en avais pas connu depuis fort longtemps. Cette espèce de machine à laver de la vie, t’es balloté dans tous les sens, bim ça s’arrête, tu crois que t’es tranquille et paf, ça repart de plus belle. Un truc dans le genre.

Mon cerveau a turbiné, tourné et retourné à l’infini un milliard de problématiques, j’ai pris quelques dures décisions, j’ai eu beaucoup de mal à en prendre d’autres, j’ai entrepris de chouettes choses, abandonné plein d’autres, été plus heureuse que jamais, triste à en mourir, j’ai fait la fête plus que de raison, je suis restée enfermée chez moi… En fait j’ai tout simplement vécu, vous savez, ce truc qu’on appelle « la vie » quoi.

Le concept de la dualité, vous connaissez ? Sans moche il n’y a pas de beau, sans tristesse il n’y a pas de joie… Sans mort il n’y a pas de vie. Alors c’est vraiment très très chiant, surtout quand ça te défonce comme un rouleau compresseur et que tu as du mal à trouver les pistes pour faire repartir la machine, mais finalement… Il faut l’accepter. Sans ombre pas de lumière.

Et dans ces moments, il n’y a pas trente six solutions. Cela paraît évident et pour autant je ne l’ai accepté qu’il y a… une journée. Il faut s’autoriser à être doux envers soi même. Cela faisait des semaines que j’étais vénère contre moi. Vénère parce que je n’arrivais pas à faire de choix, à savoir ce que je voulais faire dans la vie, à me satisfaire de ce que j’avais, à avoir toujours cette envie de voir si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs, vénère parce que j’avais laissé rentré à nouveau les mauvaises personnes dans ma vie, vénère parce que je croyais avoir avancé et qu’en fait j’ai mis le doigt sur autre chose… Et j’en passe et des meilleures. Et tout ça, in finne, ça fait beaucoup de vénère pour une seule personne !

Ce qui nous entoure est déjà assez intense, exigeant et parfois pas très bienveillant, la société se charge déjà bien assez de nous renvoyer une image biaisé (pour ne pas dire parfois merdique) de nous même, alors on ne va pas se mettre à être malveillant envers… notre pauvre nous !

Parmi tout ce merdier des dernières semaines, j’ai eu envie de dresser une liste des choses chouettes que j’ai accomplies, des trucs sympas que j’ai vécu, des personnes supers que j’ai rencontrées, des avancées que j’ai fait, des amis qui sont toujours toujours là. Parce que croyez moi, alors que j’étais persuadée d’être depuis des mois dans une démarche de cheminement et de questionnement personnel positif… En fait j’étais dans l’auto-flagellation permanente. Parce que finalement, c’est plus simple de voir le négatif. C’est plus politiquement correct de pointer ce que l’on fait mal, de s’en excuser et de ne pas trop s’attarder sur le positif. On ne va pas se jeter des fleurs quand même.

Moi perso j’ai décidé de me jeter la dose de fleurs. La totale, les boutures dans tous les sens, les pivoines, les coquelicots, tout. Et ça va déjà beaucoup, beaucoup mieux.

Je respire.

Changer réellement de prisme, être convaincu que l’on est quelqu’un de bien, que l’on a le droit de se tromper, qu’on a le droit de changer, de dire les choses, de s’autoriser… Ça permet de traverser cette zone de turbulences avec beaucoup plus de sérénité.

On reprend confiance en soi, en la vie, en les autres. Sans cette confiance, on est bloqué, on stagne et c’est aussi pour cela que l’on peut ressentir cette frustration parfois, avoir l’impression d’être dans un espèce de marasme, au même point. Pour avancer, il ne faut pas avoir peur et il faut savoir à la fois s’écouter et se faire confiance.

Alors voilà, Chakras before Karma c’est un projet que j’ai dans les valises depuis un bout de temps maintenant, qui est né au détour d’une conversation avec une amie et qui je trouve est on ne peut plus en accord avec ce que je traverse en ce moment :

Il faut prendre soin de soi, s’assurer d’avoir les chakras bien alignés avant de venir se préoccuper du Karma, de l’un découlera l’autre.

 

La vie, parfois, ça pue la merde mais globalement c’est quand même plutôt très sympa ! Tout est un incroyable matériau pour expérimenter, creuser, chercher et essayer de se comprendre un peu plus pour comprendre ce qui nous entoure et alors, s’accorder sur la même vibration.

A très vite pour un prochain article,

Chakras, paillettes et namasté ⭐

Tout remettre à zéro

⭐ « A fresh mind for a fresh start » ⭐

Alors voilà. Après des mois, peut-être même des années, il semblerait bien que je recommence à bloguer. Ce n’est pas l’envie qui a manqué, quoi que. Si un peu.

Aujourd’hui, lors d’un échange avec mon réparateur d’énergie préféré (Fabrice Coppin, pour ceux que cela intéresserait à Marseille – aussi renommé par mes soins « Fabulous Fab’-) il a eu des mots très justes. Dans le chaos, on possède une chance incroyable, celle de tout remettre à zéro.

Vous l’avez certainement senti passer, ce passage à l’automne archi lourd, ces énergies très mouvementée qui t’amènent, en toute simplicité, à remettre ta vie entière en question ? En tous cas hauts les cœurs, c’est encore un peu la rentrée et j’ai décidé, sans pour autant tout recommencer, de revenir. Remettre à zéro cette aventure bloguesque qui m’avait amené vers tant de belles choses. Alors j’ai réajusté deux trois trucs, un peu comme on repeint vite fait les murs de son nouvel appart alors qu’on aurait envie d’arracher la moquette et de faire péter la cloison entre la cuisine et le salon… On va dire que c’est suffisant pour que je repose mes valises par ici même si une des raisons pour lesquelles j’avais doucement arrêté d’écrire par ici était le layout de ce blog que je ne pouvais plus me sentir.

Les grands défis de ma fin d’année 2018 ?

– Accepter, démêler, avancer

– Me (re)connecter

– Ecrire

– Amener un peu de douceur

Quels sont les prochains sujets que je vais aborder ?

  • Comment j’ai arrêté de fumer naturellement
  • Ma rencontre avec Sophie et la découverte du Reiki
  • Ma formation de professeure de yoga pour enfants
  • Mes dernières lectures bouleversantes
  • Deux années de suivi avec un practicien du massage thaï : alors ?
  • Comment la Pole Dance a changé ma vie
  • Routines yoga pour débutants
  • Rituels pour un départ en douceur
  • Le deuil
  • Retour sur le livre « 3 kifs par jour »
  • Bilan zéro déchet après trois années

Vous voyez… On ne va pas s’ennuyer ! En tous cas, je suis ravie d’être à nouveau par ici. De retrouver cet espace de rédaction d’article, d’avoir le cerveau qui bouillonne à l’idée d’écrire tout cela… A très vite,

Chakras, paillettes et namasté ⭐

Ce que le yoga a profondément changé en moi (article avec des chakras dedans)

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Je vous en avais déjà parlé il y a quelques mois, quasiment une année à vrai dire, alors que je publiais un article qui s’intitulait, à peu de choses près et en toute simplicité : « Comment tendre vers l’harmonie intérieure« . C’est un bien vaste sujet que je n’ai pas la prétention de décortiquer en un article mais duquel j’aime beaucoup parler. Et pour moi, une des clés, a résolument été la pratique du Yoga. Je vais essayer de me calmer sur les vibes oranges, vertes ou violettes, les khapala bati et les namasté à chaque fin de phrase pour tenter d’être claires et relativement précise 🙂

Alors oui, le Yoga, c’est tendance et on peut presque dire qu’il y a autant de pratiques qu’il y a de professeurs, si ce n’est d’élèves ! Mais pour moi, ayant testé plusieurs lieux et plusieurs cours, il en est un qui m’a énormément apporté.
Depuis octobre, je suis retournée suivre de façon hebdomadaire les cours de la merveilleuse Julie (sa page Facebook ici), ma prof de la fac dont je vous avais précédemment parlé, et quand je vous dis que cela m’a énormément apporté, je pèse mes mots ! L’énergie et l’aura de la personne qui vous enseigne le Yoga et qui vous accompagne dans cette quête de bien-être et d’équilibre est primordial. La confiance et la bonté échangées à chaque cours sont pour moi des facteurs clés dans cet épanouissement personnel fulgurant.

Outre la pratique régulière qui est indéniablement vecteur de bien-être, de détente et d’assouplissement, ses séances composées de méditation, d’huiles essentielles et de postures construites autour d’un thème et d’une envie qui vient de nous, ses élèves sont juste incroyables.

Être une bébé Yogi en devenir m’a permis…

  • De prendre conscience de mon corps dans toute son entièreté

Semaine après semaine, mon corps s’assouplit, mes muscles se détendent; comme avec la pratique d’un autre sport, on prend conscience de chaque muscle à force de travailler différentes postures, de chercher l’équilibre dans chacune d’entre elles (namasté !). Et l’on prend aussi conscience des énergies qui circulent à l’intérieur et sont bien là, du mental et de son action sur le corps dans son ensemble. Tu comprends que tu es maître de ton corps, qu’il t’appartient et que toutes ces émotions ne doivent pas être subies mais embrassées à bras le corps ! (Nasmaté bis)

  • De découvrir des clés pour vivre pleinement et intégrer dans leur entièreté mes émotions, et surtout les positives.

Un peu par hasard, je me suis rendue compte qu’à force de travailler les/mes émotions chaque lundi, j’étais capable de complètement assimiler et savourer (quand elles sont positives) si ce n’est gérer, les émotions qui m’envahissent. Rien n’est plus chouette que pouvoir ressentir la joie, le bonheur ou encore la sérénité dans sa totalité et de s’en nourrir. & au passage c’est plutôt reposant de ne plus être à la merci de la moindre petite émotion un tant soit peu « intense ».

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  • De trouver un équilibre, émotionnel et physique

A chercher l’équilibre et la bonne balance dans ses postures, on finit par s’en imprégner au quotidien (et quand on apprend à skater :D). Depuis ces quelques mois, je me sens beaucoup plus en harmonie avec mon environnement et mes émotions. C’est pour dire, ma voiture s’est faite embarquer par la fourrière un jeudi matin avant d’aller au boulot, et j’ai à peine eu un micro pincement à l’estomac (juste un peu quand j’ai fait un virement de 300 balles à la ville de Marseille la veille de Noël mais promis j’ai presque rien senti) ! Puissance yogi chakra vert ouvert à fond, on inspire et on gère pour ne pas se laisser envahir par toutes ses nuisances contre lesquelles on ne peut finalement rien.
J’ai cessé (ou presque, faut pas abuser, c’est le taf d’une vie :D) de me laisser manger par toutes ces préoccupations, laisser glisser ne veut pas dire ne plus rien faire ou ne plus rien ressentir, juste être enfin PEACE.

  • De me reconnecter avec moi même et avec ce qui m’entoure

J’ai l’impression que depuis ces quelques mois, mes sens se sont décuplés ! Je suis beaucoup plus réceptive à ce qui m’entoure, aux choses simples, à la beauté du quotidien. Je suis beaucoup plus curieuse, avide de découvertes. Je suis enfin dans l’instant et j’arrive à ressentir cette rare sérénité propre à ce sentiment de « je suis à ma place dans ce monde ».

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Alors, évidement, ma vie ce n’est pas un épisode de Casimir tous les jours non plus, n’empêche, je me sens indéniablement mieux. Effectivement, je grandis, je mûris, je trace mon petit chemin quotidien et cela joue énormément, mais le Yoga m’a définitivement permis d’accéder à ce calme, à cette paix intérieure qui me ramène chaque jour à la joie et à la tranquillité de l’instant présent.
Je ne saurais que recommander à tout un chacun de s’accorder cette pause bienveillante dans une vie bien remplie, de se concentrer un poil sur soi même dans le calme et l’amour. D’apprendre à respirer, à faire circuler les énergies et les émotions le temps d’une parenthèse yoginesque parce que ça ne peut qu’être positif.

Et si tout un chacun sniffait de la camomille romaine en posture de la danseuse cosmique le matin, le monde se porterait peut-être mieux, qui sait ? 🙂

Mes belles découvertes de 2016, ecofriendly et responsables

Je suis dans ma lancée bouclage de 2016, bilans, listes et tout l’bazar et j’ai comme l’impression que j’ai un peu de mal à m’arrêter ! Je voulais aujourd’hui partager avec vous ces choses super méga géniales, ecofriendly et responsables qui ont marqué mon année 2016.

 

  1. Changer de coupe menstruelle pour la Lunacopine.

Parce que oui, toutes les coupes menstruelles ne se valent pas, découvrir une autre marque que celle que j’utilisais m’a changé la vie. Plus de fuites, plus de difficulté d’insertion, plus de fois où c’était un peu mal placé. Déjà que malgré quelques petites incommodités ponctuelles, la cup, c’était de la bombe, là c’est vraiment parfait.

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2. Utiliser des serviettes lavables pour les moments de flemme.

Parce que parfois, on a la flemme. La flemme de mettre sa cup, la flemme de devoir la retirer, la flemme de la rincer… Bref, ça arrive, même aux meilleures cupeuses d’entre nous. &puis acheter un paquet de serviettes, déjà ça m’embête d’un point de vue santé et environnement, et en plus ça n’a pas plus vraiment de sens quand tu es passée à la coupe menstruelle de penser à acheter des protections. Et là, les serviettes lavables te sauvent la vie. Tu les as toujours chez toi, tu ne crains rien pour ton micro eco-système interne et en plus tu ne génères pas de déchets hautement polluant et non recyclable. Coooool.

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3. Me démaquiller à l’huile de coco et avec un coton lavable.

Je ne suis pas une très grande fan de démaquillant et pareil, c’est le genre de truc qu’initialement, je ne pense jamais à acheter. Mais alors le démaquillage à l’huile végétale (quelle qu’elle soit), c’est juste vraiment bluffant d’efficacité ! Une micro noisette suffit à désintégrer le plus waterproof des mascaras et un coup de coton lavable imbibé d’eau bien chaude là dessus finit le travail en beauté. Tellement pratique, économique, écologique… C’est juste le combo idéal, parfait pour vraiment tout le monde !

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4. Détartrer tout ce qui est entartré au vinaigre blanc.

Non mais vous avez déjà essayé le vinaigre blanc sur vos robinetteries (carreaux de douche, porte de douche…) ? C’est juste absolument hallucinant.

5. Mettre vrac, fruits et légumes dans des sacs en coton.

Après avoir passé les premiers mois de l’année à réutiliser jusqu’à n’en plus pouvoir mes sacs en papier, j’ai mis la main sur un lot de sac en tissu réutilisables dans une boutique bruxelloise il y a un petit moment. Et maintenant, c’est absolument fini, je n’utilise vraiment qu’en cas d’oubli imparable des sacs en papier mais je m’arrange la majeure partie du temps pour toujours avoir un ou deux sacs en tissu dans mon sac à main. Que ce soit à la boulangerie ou au supermarché, ces sacs sont juste absolument parfait et m’ont permis d’éviter l’usage de dizaines de sacs en papier divers et varié en quelques semaines. C’est le début d’une loooooongue histoire commune.

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6. N’utiliser quasi exclusivement plus que des savons et shampoings solides.

Il y a encore quelques mois, j’étais plutôt réticente à l’usage de cosmétiques solides. Non pas pour des raisons très fondées, juste j’avais de très mauvais souvenirs de pains de savons qui laissent la peau toute rêche et l’impression que le shampoing solide serait compliqué à utiliser sur cheveux longs. Mais ça, ça c’était avant. Avant que tout le monde et même ton voisin se mette à faire des savons SAF tous plus beaux et plus doux les uns que les autres, avec des parfums délicieux et des compos ultra clean. C’était avant que je teste le shampoing de « la savonnerie de l’Aubergine » et ne constate une nette amélioration de mon rendu capillaire global, de l’économie financière et de l’incroyable réduction de déchets que cela représentait.

De plus, utiliser ses cosmétiques solides permet aussi de soutenir des artisans et de se procurer facilement des produits durables et sains des alentours en encourageant les petits commerces et producteurs.

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7. La gourde.

Mais comment ai-je pu vivre sans gourde, je vous le demande ? Bon pour être tout à fait honnête c’est en 2015 à Bali que je l’ai adoptée et depuis, elle ne m’a jamais quittée. C’est tellement plus simple d’aller demander dans un restaurant ou un magasin que l’on nous remplisse sa gourde pour éviter d’acheter une milliardième de bouteille en plastique qui sera jetée au mieux dans quelques jours, au pire dans quelques minutes. Et puis c’est top, pas de transfert, pas de goût, une bonne conservation de la température, résistante et durable… Encore une qui m’aura épargné un grand nombre de déchets produits.

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8. La serviette de tissu.

Comment ai-je pu vivre sans serviette en tissu (bis)? Non mais vraiment je me le demande. Je vais paraître complètement mongole mais en fait je ne comprends vraiment pas pourquoi nous sommes passés de l’usage de serviette en tissu tout à fait respectables à celui de l’essuie-tout ? Vraiment. Au quotidien, je suis incapable de dire en quoi l’utilisation de papier jetable est plus pratique que celui d’une serviette en tissu ou d’une éponge micro fibre, que l’on lavera ou rincera lorsque cela sera nécessaire. Au bureau j’ai ma serviette en tissu dans mon tiroir et je ne prépare pas un picnic sans en glisser une dans le sac. Je m’en sers également pour transporter mes parts de gâteau ou tranches de pain si besoin. Vraiment, cela ne coûte quasiment rien à l’achat, on peut très facilement en fabriquer des très chouettes dans de vieux vêtements/tissus recyclés, en trouver à la pelle dans les tiroirs de chez ses parents et grands-parents… Militons pour le retour de la serviette en tissu bon sang de bonsoir ! #giveusourserviettesback

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&vous, quels sont les choses qui vous ont permis de drastiquement limiter vos déchets cette année ? Ou quels sont les choses de cette liste qui vous donnent envie de les adopter pour plus de praticité, d’économie et de réduction des déchets ?

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Ces 10 choses qui ont rendues mon année 2016 un peu plus belle

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Crédit photo : Pinterest

Les douze coups de minuit de samedi soir ont sonné le glas de la transition 2016/2017 et avec lui est arrivé l’envie de faire un bilan. Quoi de plus tentant que de se pencher sur les douze précédents mois et de dresser un constat; alors 2016, cela nous a apporté quoi ?

Je préviens de suite, cela n’aura pas été facile pour ma 2016 de relever le défi d’être à la hauteur de 2015. Cette dernière aura été une des plus incroyables années de ma vie, pour le moment, et avec la fin d’études et la recherche amère d’emploi qui se dessinait sournoisement au début de l’année dernière, ça n’allait pas être folichon. Et en effet, les premiers mois de 2016 ont été plutôt trashs, pas très choupitrognons et un peu relous pour être honnête. Alors que je baignais encore dans l’illusion que mon profil international et polyglotte allait faire frémir plus d’un recruteur, je suis allée de déconvenues en déconvenues. Sans oublier que le tout était saupoudré d’une incroyable indécision quant à ce que je voulais faire de mon futur et où je voulais poser mes valises (spoiler alert : je ne le sais toujours pas  !).

&puis, doucement l’année s’est décantée et avec mon emménagement à Marseille (qui devait être « provisoire », oops !) la vie a commencé à devenir plus agréable. J’avais très envie de rédiger cet article pour me poser et réfléchir à 10 choses qui ont illuminées mon année 2016 et à 10 choses que j’ai envie de mettre en place et d’atteindre en 2017. (Comme ça dans 12 mois je serais comme une conne devant mon article à pleurer toutes les larmes de mon corps sur ma foutue incompétence à me bouger les fesses et à ne pas procrastiner)(ou bien je serais contente en me disant que je l’ai fait.)(See ya in 12mo).

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Les 10 choses qui ont rendues mon année 2016 un peu plus belle

  1. Je me suis tenue à une routine bloguesque plutôt respectable et cela m’a permis de faire de très belle découvertes, d’échanger avec de belles personnes et de mettre des mots sur mon engagement.
  2. J’ai appris à SKATER ! &je me suis acheté un skate. Et je SAIS SKATER. Et ça me rend trop contente.
  3. Ski, Via ferrata, Escalade, Bloc, en 2016 j’ai fait la nique au vertige et malgré quelques petits moments de solitude ultime et de crises de larmes un peu gênantes, je ne me suis pas démontée.
  4. J’ai repris sérieusement le Yoga (avec ma prof géniale, la dénommée Julie Maartin dont je vous parler dans mon article sur l’harmonie) et mon dieu, comme ça fait du bien ! Je sens la progression, la sereinité, la pleinitude… Je gère tellement mieux mes émotions… BREF, je vous prépare un article à ce sujet !
  5. Je vais à la piscine une fois par semaine &ça peut paraître très simple mais cela me fait un BIEN fou.
  6. J’ai lu, lu, lu et lu ! Avec une moyenne de 2 livres dévorés par mois, j’ai redécouvert le bonheur de se plonger dans un roman et d’avoir du mal à s’en décrocher !
  7. Je suis allée passer mon anniversaire à Berlin dans la ville de mon coeur entourées de mes amis d’amour. Et c’était un vrai shoot de BONHEUR.
  8. J’ai passé un super été, ma sœur est venue me voir à Marseille, ma mère, ma copine Océ, je suis partie dans le Verdon avec mon doux… C’était génial de le faire découvrir cette ville que j’aime vraiment très fort et de passer autant de temps auprès d’elles.
  9. Mon article sur le fait que je ne boive pas d’alcool (ici si tu ne l’a pas lu !) a plutôt eu un bon retour et j’ai été relayé par Le Bonbon (Je ne bois pas d’alcool et je le vis bien) et le Plus de l’Obs  (Je ne bois pas d’alcool mais je passe une très bonne soirée, merci !)! Autant te dire que je ne me sentais plus, c’était plutôt sympatoche !
  10. J’ai passé quasiment tous mes week-ends de mars à décembre à la plage à lézarder au soleil au côté de mon amoureux (qui est à lui seul un highlight de 2013-2014-2015 et 2016 :D).

Les 10 choses qui rendront mon année 2017 un peu plus belle

  1. Ecrire un livre. Ou une nouvelle. Quelques chapitres. Enfin bref, m’atteler à ce truc que j’ai envie de faire depuis des années, dont je parle mais que je ne met pas en marche.
  2. Retourner en Asie. Revoir les palmiers, retrouver ces visages familiers, sentir à nouveaux les parfums, rouler un scooter…
  3. Mettre au point une routine et m’y TENIR.
  4. Travailler dans un environnement germanophone et international.
  5. Trouver ma « voie »
  6. Réussir à faire la posture sur la tête.
  7. Me renforcer musculairement (parce que sinon je n’arriverais jamais à atteindre le 6ème).
  8. Revoir tou-te-s mes ami-e-s avec qui ont dit que l’on doit se revoir depuis des années.
  9. Voir plus mon little monster de sœur.
  10. Faire de la danse orientale.

3 regrets de 2016

  1. Ne pas avoir plus voyagé.
  2. Avoir eu peur, peur d’oser, peur de me lancer.
  3. Avoir manqué de rigueur sur certains points.

Constat douloureux / consommation responsable & bien-être

L’année dernière a été assez éprouvante moralement, jeune diplômée, je revenais de 6 mois en Asie et plus particulièrement en Indonésie où j’avais réalisé le stage de fin d’année le plus passionnant, inspirant et important pour moi. Je me sentais pour la deuxième fois de ma vie « à ma place ».

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Ma vie avait du sens, tout comme ma présence sur terre, ma conscience environnementale s’est décuplée, j’ai compris beaucoup de choses, ai effectué beaucoup de changements dans ma vie.

Les mois qui ont suivis ont été emplis de désillusions et de quelques déceptions, je n’arrivais pas à me projeter dans une carrière professionnelle, à décrocher mon premier emploi, à savoir ce que je voulais faire. J’ai ouvert le blog, j’ai appris beaucoup de choses, cela m’a absolument boostée. Mais si mes émotions pouvaient être instables, il y a une chose qui était constante : ma consommation. Responsable, minimaliste. Je n’avais pas de revenus, peu de moyens et peu d’envies si ce n’est celle de trouver ma place dans (ou à côté :)) de la société.

Depuis septembre, je suis employée. Je consacre mes journées à mon entreprise, je gagne un poil plus d’argent que l’année précédente. Cependant…

J’expérimente un sentiment assez douloureux et je constate que ma sérénité face à une consommation raisonnée et minimaliste était bien plus que je ne le pensais liée à mon état d’esprit.

Aujourd’hui, je ne me sens pas épanouie, j’ai le sentiment de manquer de liberté, de ne plus avoir le temps de me consacrer à toutes ces choses qui me font du bien et donnent du sens à ma vie (le constat sur le blog est consternant, bref). Et quelque chose s’est réveillé en moi, un besoin quasi compulsif d’acheter. Principalement des vêtements.

Quasi tous les jours, j’ai envie de nouveaux vêtements, de nouvelles choses, de posséder du matériel qui me permettrait de modeler, tout du moins d’intervenir sur l’image que je renvoie aux autres. Je me trouve dans une situation étrange où j’ai comme le sentiment « d’avoir le droit » de dépenser, de consommer parce que mes journées de travail sont relativement éprouvantes.

& tous mes beaux discours, ces choses que je trouvais si simples il y a quelques mois à peine, volent en éclat.

Je suis intiment convaincue que le bonheur ne se trouve pas dans la possession, preuve en est, je ne me sens pas vraiment mieux, ni bien, ces dernières semaines.

Je comprends alors que la simplicité volontaire dépend de beaucoup de facteurs, que c’est bien plus compliqué qu’avoir de belles convictions.

Je me suis très très facilement détachée des cosmétiques, des produits d’entretien, je suis satisfaite de mon alimentation et de la façon dont je consomme mais… Les vêtements, c’est un vrai problème. C’est plus simple en été et quand on se sent bien, en phase avec soi-même, connecté avec son environnement.

Je travaille dessus mais je suis profondément convaincue que tant que je n’aurais pas donné du sens à mon quotidien, je pourrais « m’empêcher » d’acheter, mais je ne serais pas en paix avec moi-même.

Mais qui fait mes vêtements ? Dans quelles conditions ? Pour quel prix ? Dans quelle mesure ai-je envie de cautionner cela ?

Pas vraiment de solution ni d’infographies en trois points à vous proposer aujourd’hui, mais je serais ravie d’avoir votre avis et vos retours sur ce questionnement. Si vous êtes dans une démarche zéro déchet, quel est votre talon d’Achille ? Si vous vous intéressez à un mode de consommation plus responsable mais que vous n’y arrivez pas, qu’est-ce qui vous freine ?

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Je ne bois pas d’alcool mais merci, je passe une très bonne soirée.

Je ne bois pas d’alcool. Enfin, pas vraiment. Je ne suis pas contre un Mojito bien arrangé ou un petit pastis de temps en temps mais je n’aime pas du tout le goût de l’alcool. Bière, vin, alcools forts… Ça ne m’émoustille vraiment pas les papilles. En soi, je n’ai aucun problème avec cela, ça ne me dérange pas et je m’en accommode très bien mais ça commence à me pomper sérieusement l’air de devoir souvent justifier le fait que je ne boive pas d’alcool aux nouvelles personnes qui entre dans mon cercle d’amis (bon ok, je fais un peu ma drama queen, beaucoup trouvent ça cool et relèvent à peine). Mais depuis quelques temps, je constate que peu de situations « festives » (aller boire un verre en terrasse, apéro, soirée…) sont dépourvues de cet échange :

« Non je ne bois pas, un soft s’il te plaît »

« Non je n’aime pas le goût de l’alcool »

« Non pas même la vodka » (s’en suit une liste d’environ 10 questions concernant divers types d’alcool)

« Si parfois je bois un Mojito » (AAAAAAaaaaaaaaaah quand même !)

« Non mais je préfère boire un soft, VRAIMENT »

Après moultes justifications, je me demande quel est le fond du problème. Pourquoi le fait que mon verre reste rempli d’un soft puisse être aussi problématique dans les ambiances festives. Finalement cela ne m’empêche pas de danser jusqu’à 9heures du mat’, d’avoir survécu un an et demi à un rythme effréné de soirées berlinoises, de passer des moments de ouf, d’être de bonne humeur et motivée. Donc lettre ouverte à tous ceux qui ne comprennent pas que l’on puisse ne pas consommer d’alcool (par goût, par envie, par conviction, pour des raisons de santé, etc.) : qu’est ce que cela peut vous faire ?

Est-ce que je vous prends la tête en soirée à analyser tous les fonds de vos verres en demandant ce que c’est ? Non.

Est-ce que je me permets de juger votre comportement une fois que vous êtes alcoolisés ? Non.

Est-ce que finalement l’important c’est pas aussi de passer un bon moment ensemble même si je suis au soft ? OUI !

Après tout, boire en soirée ou pas, c’est juste un choix à respecter

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source : ouest france

Ne pas boire en soirée, c’est l’histoire de ma vie. Et merci de vous en préoccuper mais ne vous inquiétez pas pour moi, je passe de très bons moments ! Sinon je ne serais pas là, donc tout va bien. Alors oui, parfois (parfois plus souvent que d’autres…) je trouve que c’est un peu dommage que bon moment entre amis/en groupe soit directement associé à alcool, ivresse et compagnie. Même si je peux le comprendre !

NON

Alors oui, en étant sobre, je vois tout. Et alors ? Est-ce que pour autant à chaque soirée je vais voir chacun de mes amis pour leur dire « non prends pas de bière, prends un coca ! », « ah du vin, encore ? Roh t’es vraiment pas funky hein ! », « Sérieux un cocktail ?? Putain mais bichette ce soir c’est festif, on s’ambiance, prends un Schweppes Agrumes, sérieux là tu fais chi*r tout le monde ! ». Non, je ne le fais pas.

Et pourtant à chaque soirée, de plus en plus, on ne me laisse pas tranquille. Et je dois sans cesse me justifier, raconter le pourquoi du comment, glisser que si, quand même j’ai déjà été bourrée, comme pour laver mon honneur. Et parfois, je suis à deux doigts de céder. Ok, va me chercher une bière que je boirais pas si ça peut te donner l’impression que ça me rend plus drôle 🙂

 

Nous sommes des gens normaux

Alors, je me demande, pourquoi le fait de ne pas boire est associé à « coincé, rabat joie, relou » ? Au contraire, je suis toujours de bonne humeur, bon public et vraiment pas compliqué, laissez les gens être ce qu’ils sont sans chercher à les forcer.

Et lorsque parfois, on se laisse tenter par un alcool ou un arrangement qui convient à notre palais, parce que bon, on a le droit aussi, s’il vous plaît, restez modérés ! Ca peut vite être pénible et pesant quand tout ne tourne qu’autour de ce qu’il se passe au fond de mon verre. Je ne vous fais pas un high five et une danse de la joie chaque fois que vous commandez une limonade.

Si vous avez des amis ou des personnes de votre entourage qui ne boivent pas d’alcool, laissez les tranquille. Inversez la situation et imaginez que toute la soirée vous avez quelqu’un à vos basques qui vous serine pour que vous troquiez votre bière contre un thé glacé ou une eau gazeuse. Ce serait un peu lourd, je peux vous le garantir. Ne pas boire ou ne pas être ivre tous les week-ends ne veut pas dire que nous ne sommes pas des gens sympas, sociables et surtout libres de faire ce que l’on veut. Et cela ne devrait pas être une tare.

Passons une bonne soirée les uns avec les autres

La pression concernant la consommation d’alcool est aujourd’hui très forte, et le pire, c’est qu’elle vient souvent de votre entourage plus ou moins proche. De vos amis, des amis d’amis ou de votre famille. Je me suis déjà dit que j’allais me mettre à boire juste pour que l’on me laisse tranquille. Mais non, juste, laissez-moi tranquilleQui s’est forcé à manger des choux de bruxelles à chaque apéros ou soirées juste pour faire plaisir à ses amis ? Personne 🙂

Ici, vous trouverez le lien de « mon interview » qui explique d’une autre point de vue pourquoi je ne bois pas d’alcool (ouhlala les grands mots) faite pour le bonbon & que je trouve vraiment sympa et bien rédigée 🙂

Contrairement à d’autres qui détestent la sensation d’ivresse, de perte de contrôle liée à cet état second qu’on connaît (trop) bien, ses papilles rejettent ces boissons, en particulier les alcools forts. « J’ai déjà ressenti cette sensation d’ivresse, c’était sympa mais je ne vais pas me forcer pour kiffer une soirée ». Ça peut paraître un chouïa utopique pour des soiffards comme nous/vous, mais elle s’amuse autant sans. Ah les plaisirs simples de la vie…

 

Pour conclure, « non » elle ne s’ennuie pas en soirée, « non » elle n’a pas une vie merdique, « oui » elle a déjà été bourrée, et « non », son choix ne résulte pas d’un traumatisme. Comme le fait de porter des mocassins plutôt que des bottes, Anaïs préfère boire une menthe à l’eau plutôt qu’un gin to !

Je vous recommande un article que j’ai beaucoup aimé et qui en parle un peu plus longuement sur Madmoizelle : Je n’aime pas l’alcool… et c’est mon affaire !

Voilà, la conclusion c’est prenez soin de votre prochain, de vos ami(e)s, aimez les et soutenez les peu importe leurs goûts, qu’ils soient vegans, footballeurs, hipsters, allergiques au gluten, fans d’Eiffel 65 ou qu’ils ne boivent pas d’alcool ♥

Sur ce, à très vite, soyez heureux ♥

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Raisonner sa consommation de vêtements, 3 étapes

Je suis sincèrement convaincue que la possession n’induit pas le bonheur. Aujourd’hui, je ne suis pas dans une démarche 100% minimaliste car malgré moi, j’aime certaines choses que l’on pourrait considérer comme inutile, j’aime les choses qui sont simplement jolies, qui habillent une pièce, j’aime beaucoup les vêtements et les bijoux. Cependant, depuis octobre 2013, j’ai entamé une profonde réflexion sur mon mode de consommation et ma relation avec mes fringues.

Croyez-moi, si j’ai réussi, vous le pouvez aussi ! A la rentrée 2013, Arte a diffusé toute une série de reportages sur « la décroissance », concept que je ne connaissais alors pas du tout. &là, j’ai eu une énorme prise de conscience. J’ai regardé mon consumérisme vestimentaire quasi pathologique droit dans les yeux et me suis posé beaucoup de questions. Pourquoi avais-je autant besoin de posséder, beaucoup, souvent, de vouloir toujours plus, toujours mieux, de penser avoir besoin de ces vêtements… D‘être constamment en quête d’un « idéal ». J’aime la mode, les fringues, j’ai commencé mes études en BTS Design de Mode, j’ai été abonnée à Vogue… Mais cela n’excusait rien.

vide-dressing

Petit à petit, je me suis rendue compte que je comblais une certaine peur du vide par l’achat ultra fréquent de vêtements, d’accessoires, de bijoux, de sacs… Tout ce monticule de fringues à ne plus savoir quoi en faire me rassurait en quelque sorte Tout autant qu’il me déprimait ! Car au travers de tous ces achats, il y a avait toujours une démarche bien ancrée : celle de d’améliorer mon image, si ce n’est de la transformer. De tenter d’atteindre au travers des vêtements celle que j’aurais aimé que les gens voient en moi au premier coup d’œil. Sauf que c’était un combat perdu d’avance. Je ne savais pas qui j’étais vraiment et je me reposais sur mes tenues pour m’aiguiller… Cela ne faisait aucun sens.

Complètement bluffée par cette série de reportage, alors que pour moi avant l’écologie c’était surtout trier mes déchets… Tout un monde c’est ouvert à moi et depuis lors je n’ai cessé d’évoluer et de tendre vers le moins. Parce qu’en fait, c’est vrai que c’est mieux.

Se concentrer sur l’essentiel permet de respirer, de se libérer, de moins dépenser, de relativiser.

Alors, comme je ne suis pas une grosse mytho, je ne vais pas vous cacher que j’ai parfois des phases où j’ai juste envie d’une nouvelle fringue, que ma démarche est loin d’être 100% éthique … Mais aujourd’hui mes fringues d’été/automne tiennent dans une petite étagère Ikéa à 4 étages. &ce au prix d’une épuration de la garde robe drastique.

Je ne vais parler des marques éthiques, vêtements de conception française, greenwashing de grands groupes, etc. dans cet article mais plutôt me concentrer sur l’achat raisonné, alternatif et le délestage !

Etape 1 : on déblaye vénère

 

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Petite infographie pour savoir si on garde… Ou pas !

 

Etape 2 : Trouver des moyens alternatifs d’acheter ce dont on a besoin

N’ayant pas vraiment les moyens de me saper en Ekyog des pieds à la tête, une façon de bien limiter mon impact environnemental c’est d’acheter d’occasion ou de troquer les vêtements qu’on ne porte plus. C’est à cette période que j’ai découvert Vinted, qui a un peu changé depuis (blablacarisation du concept, commission du site et compagnie) mais est un site/une appli de vide dressing avec une grosse communauté, qui te permet à la fois de trouver des trucs bien cools et de revendre tes sapes.

Evidemment, on ne va pas s’éterniser sur les fripes, les vides greniers, les groupes de revente sur FB et compagnie… Et un truc que personnellement j’adore, ce sont les événements « vide dressing » organisés ou à organiser près de chez soi.

Etape 3 : Avant d’acheter une fringues, un accessoire ou autre… Je me demande,

. Est-ce que j’ai vraiment envie de cette fringue ou est-ce que j’ai envie d’acheter

. Est-ce que j’en ai vraiment besoin ? A savoir, celui que je possède est en fin de vie, je ne possède pas 1000 variantes de ce tee shirt.

. Qu’est-ce que cela va t’il m’apporter ? Vais-je me sentir plus contente, plus à l’aise, plus moi-même ?

. Avec quoi vais-je le porter ?

. Est-ce que le prix est justifié ?

. Est-ce que cela me va vraiment ?

.  Les conditions de production, l’éthique de la marque… Est-ce que l’achat de cet article vaut vraiment le coup ?

 

Alors certes, quand t’es en pleine effervescence shopping et compagnie, ça peut avoir l’air de casser un peu l’ambiance, mais c’est nécessaire ! & mine de rien, aujourd’hui, je ne croule plus sous les vêtements, je sais comment m’habiller le matin, j’aime toutes les pièces que j’ai dans ma garde robe, je suis très satisfaite de ce que j’ai et c’est top.

Sans pour autant devenir minimaliste, il est hyper important de raisonner sa consommation. Parce que l’on pense que l’on est libre, qu’acheter, pour soi ou les autres, c’est un plaisir auquel on a le droit, complètement légitime… Mais je crois sincèrement que le bonheur est ailleurs. Alors oui, on a son style, on prête attention à la mode, aux vêtements… Cela ne veut pas dire qu’il est nécessaire de donner aux grands distributeurs de fast fashion la moitié d’un SMIC tous les mois. L’argent que vous gagnez vous appartient, à vous de le donner à qui vous le souhaitez, à l’utiliser pour soutenir ceux et ce en qui vous croyez. & surtout, n’oubliez pas que la mesure est le principal de nos atout !

& vous, votre rapport à la consommation vestimentaire ? Aux fringues.. Parlez m’en !

Sur ce, à très vite, soyez heureux ♥

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Comment dormir mieux, principalement lorsque l’on est un peu anxieux ou angoissé ?

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Je voulais partager avec vous aujourd’hui quelques trucs et astuces mis en place au cours des derniers mois et qui m’ont beaucoup aidés à trouver le sommeil et à m’endormir plus facilement. En effet, d’un point de vue anxiété et remise en question, ces derniers temps ont été plutôt intenses. Autant la journée pouvait se dérouler à peu près normalement, autant le moment du coucher devenait un vrai calvaire, voire même un moment que je redoutais sévèrement. Du coup, j’ai testé diverses choses qui m’ont plutôt aidée et je me suis dit que cela pouvait vous être très utile ! Certes, on rentre en période de vacances, le soleil est là, les journées sont longues, chaleureuses (bon, apparemment pas vraiment dans toute la France…), … Mais comme on le sait, l’anxiété ne répond pas à des règles bien précises et peut pointer le bout de son nez à n’importe quel moment.

Sur ce, voici une liste non exhaustive de petites astuces que j’ai mises en place pour mieux m’endormir et chasser un peu les 1546 questions qui venaient me turlupiner au moment où je me glissais sous la couette. Evidemment, je placerais avoir un chat à câliner juste avant de dormir tout en haut de la liste.. Mais bon, on va rester dans l’abordable !

∴ Les classiques :

  • Éteindre son ordi et mettre son téléphone en mode avion
  • Ne plus faire d’écran intensément avec d’aller se coucher, baisser la luminosité de son téléphone au maximum pour ne pas se fatiguer les yeux et trop forcer avant le coucher.
  • Installer Flux sur son ordinateur et son téléphone : Flux, (clique pour te rendre sur leur site) (Appli « Twilight » sur Android si je dis pas de bêtise) c’est un filtre orangé qui se met en place sur votre écran et change d’intensité tout au long de la journée, selon la luminosité extérieure. Moins il y aura de lumière naturelle, plus le filtre sera orangé. Long story short, je ne suis pas experte, mais en gros, la lumière bleue émise par nos écrans stimulent assez fortement nos bâtonnets, leur laissant penser que c’est un peu la fête du slip et qu’on est encore en pleine journée. Une luminosité basse et orangée permet de calmer ces petits excités de la vie. Et en plus, pour tous ceux et celles qui font beaucoup d’ordi, ça soulage les migraines oculaires et douleurs au niveau des yeux de façon assez radicale !
  • Privilégier la lecture avant de dormir : Je suis complètement accro aux divertissements passifs de type Youtube, Snap, Films et compagnie… Cependant, je sais qu’on le rabâche assez souvent, mais pour s’endormir de la façon la plus agréable possible, rien de tel que bouquiner quelques pages. C’est le moment de la journée où l’on peut se poser, avancer dans son livre, se divertir calmement sans stimulation audio ou oculaire trop forte.

∴ Les un peu moins classiques :

  • Vaporiser une odeur agréable : Quand le problème principal, c’est que l’on a du mal à trouver le sommeil parce qu’on est un peu anxieux ou stressé, les odeurs sont souvent très salvatrices. Elles permettent de se détendre du neurones, de stimuler des sensations olfactives agréables, de rassurer, de calmer. Il existe à la fois des mélanges d’huiles essentielles tout-prêts que l’on peut trouver en magasin bio ou pharmacie, des recettes de roll-on anti stress à composer soi même selon ses envies et ses goûts… Ou bien simplement un parfum lambda que l’on aime bien et que l’on va vaporiser sur sa taie d’oreiller.
  • Se brosser avec une des fameuses brosses : Juste avant de se mettre au lit, je profite de deux minutes pour me brosser le corps à sec. Le bruit, la gestuelle, la sensation très agréable de relance sanguine me fait beaucoup de bien, je me sens toute zen et détendue juste après.
  • Faire une séance de Yoga spéciale avant le coucher. J’aime beaucoup cette séance de Yoga et celle ci. Pratiquer les bons exercices et les bons étirements à l’instant T vont vous permettre de vraiment détendre votre corps et de relâcher toutes les tensions accumulées dans vos muscles au cours de la journée. Ainsi au moment du coucher vous êtes hyper détendu, calme et prêt à sombrer dans les bras de Morphée.
  • Se masser les pieds et les mains avec un peu d’huile de coco (ou n’importe quelle huile végétale dont l’odeur vous plaît, amande douce, argan…). On ne le dira jamais assez, le massage et l’auto-massage ont de super vertus pour le corps, les muscles, le mental et les moral. Se masser quelques minutes les pieds puis les mains permet de se détendre immédiatement, de reconnecter avec soi-même, d’avoir un peu d’attention pour sa personne, de relâcher toutes les tensions et d’être bien préparé à déconnecter pour une bonne nuit de sommeil.
  • Lancer un podcast. Alors ça…. Ca c’est vraiment mon incontournable. Pour toutes les personnes qui comme moi, ont du mal à déconnecter sans être divertis par autre chose, c’est parfait. Les films, Youtube… C’est quand même un peu agressif pour s’endormir, on a du mal à lâcher prise, à se laisser s’endormir. Alors que les podcasts… Tu éteins toutes les lumières, tu lances un podcasts, de trente minutes ou une heure (ou whatever), tu fermes les yeux et tu te laisses conter une histoire. Je suis personnellement une inconditionnelle d' »Affaires Sensibles » sur France Inter (que j’écoute via l’appli Rf Podcast sur Android) . J’adore les thèmes abordés, la voix de Fabrice Drouelle, l’angle d’approche, la ligne éditoriale, les archives, la pertinence des invités… Pour moi c’est une des meilleures émissions radios et j’adore écouter un podcast avant de m’endormir. A vous de trouver la votre.. 🙂
  • Lancer une méditation guidée pour trouver le sommeil. Sur youtube ou des blogs/sites, il existe beaucoup de méditations guidées pour trouver le sommeil à télécharger. Il faut trouver celui qui nous convient le plus, la voix, l’élocution, l’approche… Mais pour moi ça marche plutôt bien, et rare sont les méditations guidées dont j’ai entendu la fin… Ce qui est très bon signe !

∴ Faire de la visualisation

  • Se concentrer sur ses pieds, ses membres, les sentir lourds et chauds. Se sentir s’ancrer dans le matelas, essayer de sentir le bout de ses doigts, son oreille, de faire remonter une boule de chaleur de bas en haut… Tout autant d’exercice qui permettent de se recentrer, de se vider la tête et de lâcher-prise tout en douceur.
  • Visualiser une pièce blanche, avec une boule ou un objet blanc, très rond, très doux. Imaginer sa texture, son poids… Bref concentrez-vous sur quelque chose de clair, de lumineux, de positif et de calme.
  • Etc., etc.

 

Voilà ! C’est un article assez complet, qui je l’espère vous permettra de passer des nuits un peu plus sereines et de vous endormir plus facilement ! J’aimerais beaucoup connaître VOS astuces et savoir si vous avez testé celles-ci et comment cela a fonctionné pour vous ! 🙂

Sur ce, à très vite, soyez heureux ♥

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Tendre un peu plus vers l’harmonie intérieure, vivre avec soi-même

Aujourd’hui je voulais aborder le thème du « mieux vivre avec soi même ». Vivre avec les autres c’est une chose, composer avec ses amis, son doux, sa famille, son entourage… Certes, mais avec soi même ? C’est loin d’être le plus simple.

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Je n’ai vraiment aucunement la prétention de proposer une solution magique, je voulais plutôt partager un peu avec vous mon cheminement et lire le votre. Sans rentrer dans les détails, je pense que je me suis rencontrée à 21 ans. Jusque là, je n’avais qu’une vague idée de qui j’étais, de ce que je voulais dans la vie… Et puis, je suis partie vivre à Berlin. Cela a été plus qu’une révélation. Comme un raz-de-marée, je me prenais toute ma personne en pleine face avec bonheur et satisfaction. Aaah, j’étais donc une personne comme-ci, comme-ça, qui réagissait de telle manière dans telle situation et surtout qui était pleinement capable de ça, ça et ça… Ok…!

J’en profite pour rappeler à quel point pour moi, c’est important de voyager le plus tôt possible, dès qu’on en a l’occasion ! L’adage « les voyages forment la jeunesse » n’est pas sorti de nulle part, et clairement les voyages sont ultra formateurs.

Ce n’est donc qu’à partir de 21/22 ans que j’ai pris réellement conscience de qui j’étais et que j’ai commencé, je crois, à m’apprécier, à aimer ma façon de vivre, de voir les choses, et à être fière de mon parcours et de moi même.

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La deuxième grosse baffe, c’était l’année dernière, quand je suis partie à Bali. J’avais ce besoin de partir loin, hors de ma zone de confort, justement, pour prendre rendez-vous avec moi-même. Et là encore une fois, loin de ce et ceux que je connaissais, je me suis re-découverte.

Je me demande souvent quelle est la nuance entre « qui je suis profondément », « qui je veux être », « qui j’essaie d’être ». Qu’est-ce qui m’empêche d’être qui je suis ou pourquoi je n’arrive pas à être pleinement moi-même ? Suis-je pleinement moi-même ?

Depuis plusieurs mois, le sport, la méditation guidée, le yoga, une alimentation saine, en phase avec les saisons et mes besoins m’aident beaucoup. Dans une période post diplôme où l’on est amené à se poser plusieurs fois la question du « pourquoi, pourquoi moi ? Pourquoi vous ? », de se projeter, de se justifier, se recentrer sur l’essentiel et sur son équilibre permet de continuer à avancer voile au vent.

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Prendre soin de soi, ce n’est pas qu’une question de résultats extérieurs, de séance chez le coiffeur ou de maquillage. Prendre soin de soi c’est aussi reconnecter, ressentir, se comprendre, se trouver. Se sentir mieux tout simplement, mais travailler à l’intérieur. J’ai eu la chance de pratiquer le Yoga avec Julie Martin et ses cours dispensés à Aix-en-Provence… C’est une belle personne pleine de bienveillance et de générosité, qui propose des séances hyper bien construites qui permettent d’aller mieux de façon quasi instantané ! Elle remue les émotions, fais bouger les muscles et circuler les énergies avec beaucoup d’humour et de douceur. Grâce à ses cours, couplés aux ateliers Yoga & méditation guidée qu’elle proposait à l’Atelier de Soi à Aix, je me suis complètement éloignée de tout stress pendant cette période de pratique régulière et j’ai découvert la reconnexion physique, au travers de posture avec son corps, son énergie et ses émotions.

En parallèle de quoi, je me suis mise à suivre plus assidûment la page des « Antisèches du bonheur » qui propose de belles réflexions et des méditations guidées courtes, accessibles et efficaces. Je pense qu’une des choses les plus agréables que l’on puisse ressentir c’est de se sentir à sa place. De ressentir qu’à un instant T, dans tel lieu, notre présence fait sens; et pour moi la pratique du yoga, de la méditation guidée, de la bienveillance et de la consommation responsable permettent de donner du sens à notre présence en retrouvant une connexion avec soi même. Alors ce n’est pas très novateur, il n’y a pas de solution miracle mais pour mieux vivre avec soi même il faut prendre le temps de travailler avec soi, de se questionner, de se faire du bien mais aussi de vivre en harmonie avec ceux qui nous entourent et ne nous apportent que du positif.

 

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Bref, soyons heureux, aimons nous, profitons de la vie et mangeons du tofu en regardant un beau coucher de soleil ! 🙂 ♥

 

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