Mes belles découvertes de 2016, ecofriendly et responsables

Je suis dans ma lancée bouclage de 2016, bilans, listes et tout l’bazar et j’ai comme l’impression que j’ai un peu de mal à m’arrêter ! Je voulais aujourd’hui partager avec vous ces choses super méga géniales, ecofriendly et responsables qui ont marqué mon année 2016.

 

  1. Changer de coupe menstruelle pour la Lunacopine.

Parce que oui, toutes les coupes menstruelles ne se valent pas, découvrir une autre marque que celle que j’utilisais m’a changé la vie. Plus de fuites, plus de difficulté d’insertion, plus de fois où c’était un peu mal placé. Déjà que malgré quelques petites incommodités ponctuelles, la cup, c’était de la bombe, là c’est vraiment parfait.

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2. Utiliser des serviettes lavables pour les moments de flemme.

Parce que parfois, on a la flemme. La flemme de mettre sa cup, la flemme de devoir la retirer, la flemme de la rincer… Bref, ça arrive, même aux meilleures cupeuses d’entre nous. &puis acheter un paquet de serviettes, déjà ça m’embête d’un point de vue santé et environnement, et en plus ça n’a pas plus vraiment de sens quand tu es passée à la coupe menstruelle de penser à acheter des protections. Et là, les serviettes lavables te sauvent la vie. Tu les as toujours chez toi, tu ne crains rien pour ton micro eco-système interne et en plus tu ne génères pas de déchets hautement polluant et non recyclable. Coooool.

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3. Me démaquiller à l’huile de coco et avec un coton lavable.

Je ne suis pas une très grande fan de démaquillant et pareil, c’est le genre de truc qu’initialement, je ne pense jamais à acheter. Mais alors le démaquillage à l’huile végétale (quelle qu’elle soit), c’est juste vraiment bluffant d’efficacité ! Une micro noisette suffit à désintégrer le plus waterproof des mascaras et un coup de coton lavable imbibé d’eau bien chaude là dessus finit le travail en beauté. Tellement pratique, économique, écologique… C’est juste le combo idéal, parfait pour vraiment tout le monde !

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4. Détartrer tout ce qui est entartré au vinaigre blanc.

Non mais vous avez déjà essayé le vinaigre blanc sur vos robinetteries (carreaux de douche, porte de douche…) ? C’est juste absolument hallucinant.

5. Mettre vrac, fruits et légumes dans des sacs en coton.

Après avoir passé les premiers mois de l’année à réutiliser jusqu’à n’en plus pouvoir mes sacs en papier, j’ai mis la main sur un lot de sac en tissu réutilisables dans une boutique bruxelloise il y a un petit moment. Et maintenant, c’est absolument fini, je n’utilise vraiment qu’en cas d’oubli imparable des sacs en papier mais je m’arrange la majeure partie du temps pour toujours avoir un ou deux sacs en tissu dans mon sac à main. Que ce soit à la boulangerie ou au supermarché, ces sacs sont juste absolument parfait et m’ont permis d’éviter l’usage de dizaines de sacs en papier divers et varié en quelques semaines. C’est le début d’une loooooongue histoire commune.

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6. N’utiliser quasi exclusivement plus que des savons et shampoings solides.

Il y a encore quelques mois, j’étais plutôt réticente à l’usage de cosmétiques solides. Non pas pour des raisons très fondées, juste j’avais de très mauvais souvenirs de pains de savons qui laissent la peau toute rêche et l’impression que le shampoing solide serait compliqué à utiliser sur cheveux longs. Mais ça, ça c’était avant. Avant que tout le monde et même ton voisin se mette à faire des savons SAF tous plus beaux et plus doux les uns que les autres, avec des parfums délicieux et des compos ultra clean. C’était avant que je teste le shampoing de « la savonnerie de l’Aubergine » et ne constate une nette amélioration de mon rendu capillaire global, de l’économie financière et de l’incroyable réduction de déchets que cela représentait.

De plus, utiliser ses cosmétiques solides permet aussi de soutenir des artisans et de se procurer facilement des produits durables et sains des alentours en encourageant les petits commerces et producteurs.

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7. La gourde.

Mais comment ai-je pu vivre sans gourde, je vous le demande ? Bon pour être tout à fait honnête c’est en 2015 à Bali que je l’ai adoptée et depuis, elle ne m’a jamais quittée. C’est tellement plus simple d’aller demander dans un restaurant ou un magasin que l’on nous remplisse sa gourde pour éviter d’acheter une milliardième de bouteille en plastique qui sera jetée au mieux dans quelques jours, au pire dans quelques minutes. Et puis c’est top, pas de transfert, pas de goût, une bonne conservation de la température, résistante et durable… Encore une qui m’aura épargné un grand nombre de déchets produits.

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8. La serviette de tissu.

Comment ai-je pu vivre sans serviette en tissu (bis)? Non mais vraiment je me le demande. Je vais paraître complètement mongole mais en fait je ne comprends vraiment pas pourquoi nous sommes passés de l’usage de serviette en tissu tout à fait respectables à celui de l’essuie-tout ? Vraiment. Au quotidien, je suis incapable de dire en quoi l’utilisation de papier jetable est plus pratique que celui d’une serviette en tissu ou d’une éponge micro fibre, que l’on lavera ou rincera lorsque cela sera nécessaire. Au bureau j’ai ma serviette en tissu dans mon tiroir et je ne prépare pas un picnic sans en glisser une dans le sac. Je m’en sers également pour transporter mes parts de gâteau ou tranches de pain si besoin. Vraiment, cela ne coûte quasiment rien à l’achat, on peut très facilement en fabriquer des très chouettes dans de vieux vêtements/tissus recyclés, en trouver à la pelle dans les tiroirs de chez ses parents et grands-parents… Militons pour le retour de la serviette en tissu bon sang de bonsoir ! #giveusourserviettesback

serviette_tissu

&vous, quels sont les choses qui vous ont permis de drastiquement limiter vos déchets cette année ? Ou quels sont les choses de cette liste qui vous donnent envie de les adopter pour plus de praticité, d’économie et de réduction des déchets ?

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Mes cadeaux de Noel 2016 – Liste au Green Père Noël

(Oui cet article est rédigé depuis vingt jours, et je n’ai pas eu le temps d’y ajouter les photos durant ces 480 dernières heures… Sorry Sorry)

Pour celles et ceux qui ont perdu de précieuses minutes à se pencher sur mes suggestions de cadeaux ecofriendly découvriront sans surprise que la majorité des cadeaux que j’ai reçu sont… mais oui, absolument similaires à ceux dont je vous avais parlé ! C’est dingue non ?

Comme on est un peu dinguesdingues dans ma famille, je ne vous listerais pas absolument tout ce que j’ai pu recevoir mais ceux qui, je pense vous intéresseront le plus.

  • Deux livres de Carlos Zafon ♥ , « L’espionne » de Paulo Coehlo

Comme raconté dans l’article précédent, je suis à nouveau passionnée par la lecture et j’ai découvert la plume de Zafon, il y a peu… Je ne peux que fortement recommander, j’ai commencé l’Ombre du Vent il y a quelques jours et c’est toujours aussi génial à lire ! Ensuite il s’agit d’un roman historique avec pour personnage principal l’espionne Mata Hari… Tout pour me plaire 🙂

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Cet ouvrage est vraiment très très beau, plein de belles photos et de recettes qui ont l’air toutes plus délicieuses les unes que les autres !
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Mon dieu, ce tapis, c’est un rêve. Il est super confortable, moelleux, on adhère bien et il ne pue pas les pieds ! Avec la sangle j’ai déjà pu réaliser pas mal d’exercices super intéressants pour pousser ma pratique et tendre toujours un peu plus vers les postures.

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  • Collier médaille absolument magnifique avec gravé « Karma » de chez « chouette fille« 

Cela faisait des mois que l’on lorgnait le shop de cette créatrice avec ma sœur et j’étais tellement impatiente de pouvoir porter ce magnifique bijou autour de mon cou. Personnalisée, little monster y a fait graver « Karma » ♥

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Bijou de petit créateur très fin, absolument ravissant, ci dessus 🙂

  • Du thé, du thé, du théééé

Parce qu’on n’en a jamais assez, un assortiment de thé est toujours une bonne idée !

Alors oui, j’avais une merveilleuse gourde qui accompagnait toutes mes sorties et posait sur la majorité de mes photos, oui. Ça, c’était avant, avant que je ne l’oublie (ou qu’elle ne glisse, ou qu’elle ne fugue) sur une plage pour ne plus jamais l’y retrouver. Après des semaines, que dis-je, des mois de bricolage gourdien, mon tendre a glissé une magnifique gourde en inox sous le sapin.

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  • Plusieurs cahiers de coloriage (car oui, j’ai développé une passion pour le coloriage en cette fin d’année)

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  • Un pull Ekyog et un vernis Kure Bazaar

La surprise totale. Je suis hyper contente car cela me permet de commencer doucement mais sûrement à constituer une garde-robe éthique et durable faite de beaux articles, responsables que je garderais longtemps ! Quant au vernis, cela faisait un bout de temps que je voulais essayer les vernis Kure Bazaar, grâce à ce superbe cadeau, c’est chose faite et je vous réserve bientôt un petit article test de produits ecofriendly.

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Voilà. Pas très zéro déchet, je vous l’accorde, mais tous ces cadeaux ont été emballés dans du papier journal ou dans des emballages réutilisés, ça compte ?

Plus sérieusement, oui. Oui, oui et oui, vous avez raison. Et mon plus beau cadeau, de loin, c’est d’avoir pu passer Noël auprès des miens le temps d’un week-end (et croyez moi, ce n’était pas gagné !). Quand j’ai cru ne pas pouvoir remonter en Lorraine à cette occasion, mon cœur s’est déchiré, et quand j’ai su que je pouvais poser deux jours pour les retrouver, je vous raconte pas l’émotion ! Alors j’ai eu beaucoup de chance, j’ai été gâtée, même trop gâtée, mais tous ces cadeaux ont pour moi beaucoup de valeur car je sais que mes proches ont passé du temps à réfléchir à ce qui me ferait plaisir, à se casser la tête pour que ce soit des objets ou des produits éthiques, en accord avec ma démarche globale. Noël 100% zéro-déchet ce ne sera pas encore pour cette année, mais une chose est certaine, j’ai passé un superbe réveillon, ma moza avait même fait un délicieux faux-gras pour l’occasion et je crois que c’est finalement tous ces beaux moments qui me resteront. Les quitter fût un déchirement, comme souvent, mais c’est pour mieux les retrouver ♥

&vous, au pied de votre sapin de palettes à pompoms en laine upcyclée, il se trouvait quoi ?

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Mes derniers livres adorés + Troc de livres ?

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En février dernier, je me suis remise à lire. Cela faisait des années que je n’avais pas enchaîné les ouvrages comme je le fais aujourd’hui et c’est un immense plaisir retrouvé. Je ne sais pas comment j’ai fait pour passer à côté de ce petit bonheur et toute cette richesse ! Depuis donc maintenant 9 mois, je me suis rendue compte que je lisais en moyenne deux ouvrages par mois (un peu plus, un peu moins selon le livre en question). Je me régale, je découvre beaucoup de nouveaux auteur.e.s et ai retrouvé, grâce à quelques bons livres, (dont notamment « Crime d’honneur » dont je vous avais parlé il y a quelques mois) cette passion dévorante pour la lecture.

J’aime lire des choses variées mais j’ai clairement une énorme penchant pour les romans dont le sujet me permet d’apprendre de nouvelles choses sur un pays, un moment de l’Histoire, une culture. Rien ne me plaît plus que lorsque je referme le livre, j’ai la sensation non seulement d’avoir passé un bon moment mais surtout, de m’être enrichie.

Je vous ai sélectionné trois livres que j’ai particulièrement adoré :

Seul dans Berlin de Fallada

« Mai 1940, on fête à Berlin la campagne de France. La ferveur nazie est au plus haut. Derrière la façade triomphale du Reich se cache un monde de misère et de terreur. Seul dans Berlin raconte le quotidien d’un immeuble modeste de la rue Jablonski, à Berlin. Persécuteurs et persécutés y cohabitent. C’est Mme Rosenthal, juive, dénoncée et pillée par ses voisins. C’est Baldur Persicke, jeune recrue des SS qui terrorise sa famille. Ce sont les Quangel, désespérés d’avoir perdu leur fils au front, qui inondent la ville de tracts contre Hitler et déjouent la Gestapo avant de connaître une terrifiante descente aux enfers.

De Seul dans Berlin, Primo Levi disait dans Conversations avec Ferdinando Camon, qu’il était « l’un des plus beaux livres sur la résistance allemande antinazie ». Aucun roman n’a jamais décrit d’aussi près les conditions réelles de survie des citoyens allemands, juifs ou non, sous le IIIe Reich, avec un tel réalisme et une telle sincérité. »

Mon avis : un livre magnifique qui décrit la période Nazie et le joug Hitlerien d’un point de vue allemand « lambda », et nous permet de réaliser à quel point cette période de folie sanguinaire n’a épargné personne. Certains passages sont assez durs et le souvenir de ma lecture est encore trop frais pour que j’aille voir le film mais ce livre gardera une place spéciale dans mon cœur.

La ville Orpheline de Hislop

« Chypre, été 1972. La ville de Famagouste héberge la station balnéaire la plus prisée de la Méditerranée, rayonnante et bénie des dieux, où Chypriotes grecs et tures vivent en parfaite harmonie. Un couple ambitieux y ouvre Le Sunrise, hôtel dont le luxe surpasse tous les autres. Lorsqu’un putsch grec plonge l’île dans le chaos, celle-ci devient le théâtre d’un conflit désastreux. Famagouste est bombardée.
Quarante mille personnes, n’emportant que leurs biens les plus précieux, fuient l’armée en marche. Parmi eux, Aphroditi, contrainte de suivre son mari sans savoir si elle pourra un jour revoir son amant. Dans la ville désertée, seules deux familles demeurent : les Georgiou et les Özkan. Voici leur histoire. Après l’incroyable succès de L’Ile des oubliés, Victoria Hislop mêle avec toujours autant de brio les histoires de famille et les déchirures de l’histoire sur fond de romance et de tragédie. »

Mon avis : un pan de l’Histoire qui m’était complètement inconnu s’est révélé à l’occasion de la lecture de ce roman. Très bien écrit, l’ouvrage d’Hislop révèle sa maîtrise à allier références historiques, contextualisation géopolitique et subtilité romanesque en nous plongeant dans le quotidien de deux familles de l’île. J’ai eu un très gros coup de cœur pour ce livre, acheté un peu au hasard et que j’ai absolument dévoré ! Je recommande chaudement.

Le voile de Téhéran de Saniee

« Quand j’ai repris mes esprits, je me trouvais chez cet homme, dans la chambre à coucher. Debout dans un coin de la pièce, je serrais étroitement contre moi le tchador blanc dont on m’avait affublée avant de me conduire dans cette maison. J’essayais de ne faire aucun bruit, espérant qu’il ne remarquerait pas ma présence. Dans ce silence absolu, les larmes coulaient jusque sur ma poitrine. Mon Dieu, comment comprendre ces mœurs ? Un jour, ma famille voulait me tuer sous prétexte que j’avais échangé quelques mots avec un homme que je connaissais depuis deux ans, sur lequel je savais beaucoup de choses, que j’aimais et que j’étais prête à suivre au bout du monde, et le lendemain elle prétendait m’obliger à coucher dans le même lit qu’un étranger dont j’ignorais tout et qui ne m’inspirait que de la terreur.  » Massoumeh, seize ans, n’a qu’un désir : poursuivre ses études. Un rêve accessible aux filles depuis que le shah a modernisé l’Iran. Mais quand ses frères découvrent qu’elle vit une histoire d’amour, très innocente, avec un voisin, ils la marient à un homme qu’elle ne connaît pas et n’a même jamais vu. D’abord désespérée, Massoumeh se rebelle et prend son existence en main.Ce roman d’une femme déterminée qui affronte son destin dans une société en plein bouleversement a connu le succès dans le monde entier. »

Mon avis : très attirée par les romans dont l’intrigue a lieu au Moyen-Orient, me permettant souvent de comprendre un peu mieux les basculements politiques auxquels ces pays ont fait face et ayant beaucoup d’intérêt et d’affection pour les cultures moyen-orientales en général, je suis tombée un peu par hasard sur ce livre. J’ai beaucoup aimé le talent de l’auteure et de la traductrice, la justesse des émotions, l’histoire de Massoumeh… Vous savez, c’est le genre de livre, une fois qu’on l’a finit, on ne peut pas enchaîner avec un second directement. Il nous faut un peu de temps pour digérer, pour se détacher des personnages et de leur histoire dont nous nous sommes tant imprégnés. Encore une fois… Je le recommande vivement.

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Si tu es arrivé jusque là, c’est que tu aimes beaucoup la lecture &peut-être même que nous avons de fortes chances d’avoir des goûts assez proches en matière de littérature… Parce que j’aimerais réduire mes achats de livres (mes horaires ne sont pas compatibles avec ceux de la bibliothèque, malheureusement !!) et partager encore plus avec toi que de simples conseils et commentaires, je souhaiterais te proposer un TROC de livres !! Qu’en penses-tu ?

En tous cas, si l’un.e d’entre vous est intéressé.e, laisse moi un commentaire pour que l’on puisse échanger et voir ce que l’on peut se prêter 🙂

Si plusieurs sont séduits par l’idée, je pourrais créer une catégorie sur le blog dans laquelle on pourrait communiquer, trouver un binôme de troc, proposer et trouver des livres à troquer… C’est vraiment un projet qui me ferait hyper hyper hyper plaisir… Donc n’hésitez pas !

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10 idées de chouettes cadeaux zéro déchet, zéro impact ♥

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Parce que Noël ne rime pas forcément avec consumérisme, je trouve qu’il s’agit d’une très bonne occasion pour sensibiliser son entourage en leur faisant de chouettes cadeaux utiles qui peuvent leur faire (re)découvrir de jolis objets et produits zéro déchet qui rendront leur quotidien plus agréable !

Et comme j’ai décidé que je n’étais toujours pas à la bourre pour publier mes suggestions de cadeaux à offrir ou à se faire offrir, voici DIX idées de cadeaux de Noël zéro déchet !

  1. Kit zéro déchet comprenant : des sacs réutilisables, des cotons réutilisables, un joli savon, un shampoing solide, une boite à savon et une serviette en tissus : idées ici & ici (sachant qu’il est encore temps de commander pour être livrer pour Noël !) &sinon vous pouvez trouver pas mal de choses et magasins bios… Et bien évidemment, la liste est absolument non exhaustive, vous pouvez autant offrir deux produits que 10, ceux ci ou bien des autres, etc !
  2. Kit de cosmétique à faire soi-même ici ou ici
  3. Une place de concert
  4. Un ou plusieurs livres achetés d’occasion
  5. Un bon pour un massage
  6. Des biscuits faits avec amour dans un joli pot en verre
  7. Carte de 10 entrées de cinéma
  8. Lot de savon(s) et shampoing(s) solides, par exemple ici, ici, ici ou ici
  9. Cours de yoga en studio ou en ligne
  10. Une retraite (méditation, jeûne, yoga, etc.) de deux jours
  11. Bonus : une petite formation (moi par exemple, j’adorerais me former à l’art du massage thaï), un week-end, un chouette resto…

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Je pense que l’important est de penser minimaliste, utile et surtout de privilégier des objets ou produits locaux, éthiques, de petites boutiques et d’artisans.. &puis même si les cadeaux au pied du sapin ne sont pas 100% zéro déchet ou eco-responsables, ce n’est pas dramatique ! L’important c’est de tendre, chaque jour un peu plus vers un mode de consommation différent, plus simple, plus neutre, plus responsable mais l’auto-flagellation n’a jamais porté ses fruits !

Evidemment, c’est une liste absolument non exhaustive et je serais ravie d’éditer cet article au fur et à mesure de vos commentaires afin d’ajouter vos suggestions ! Je vous écoute ! 🙂

Belle journée, des bisettes ♥

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Ces petits trucs que l’on peut faire pour faire bouger les choses à notre échelle

quelques-petites-chosesAu risque de passer pour une empêcheuse de tourner en rond, je me suis rendue compte la semaine dernière, qu’aujourd’hui, à l’heure des réseaux sociaux , il est assez facile d’entrer en contact avec les marques, les groupes afin de leur poser nos questions ou de tenter de les faire réagir sur des questions liées au consommateur. Et ce serait dommage de s’en priver ! J’ai décidé d’y consacrer un mini articles, pour toutes celles et ceux qui pensent que se manifester ne sert à rien.. Au contraire, derrière les comptes des marques, se trouvent des personnes comme vous et moi (comme moi surtout, on dirait bien que c’est plus ou moins mon métier ehe), qui lisent vos messages et souvent, prennent le temps de se renseigner, de faire remonter et d’y répondre.

Manifestez-vous, faites entendre votre voix de commateur.trice !

Je voulais vous citer ces deux exemples car j’ai été assez interloquée par la « facilité » avec laquelle j’avais eu mes réponses. Alors plutôt que de marronner dans son coin (comme on dit par ici), communiquez !

 

Certaines l’auront vu sur Insta, j’ai récemment fait l’acquisition de trois magnifiques paires de chaussettes « bleufôret ». Il s’avère que lors de mes études de textile, je me souviens vaguement avoir fait une présentation sur cette marque vosgienne, made in France qui, il me semble, respecte les principes du développement durable. Du coup je cherche des infos sur leur site, notamment pour connaitre la provenance des fils (parce que bon, Made In France… Tout est relatif !) et j’ai du mal à trouver réponses à mes questions. Voyant qu’ils ont un compte instagram, je les contacte et ils me répondent dans l’heure :

« L’ensemble de nos fils vient d’Europe. Les teintures sont faites en Europe et donc conformes à la réglementation, aux normes sécuritaires et écologiques. Toutes les étapes de production sont faites en France, sur le site de Zainvilliers dans les Vosges où se situe notre usine. Les packagings sont aussi imprimés dans la région. Plus que française, on peut dire que la fabrication de nos produits est régionale. Et notre marque est agréee Vosges Terre Textile. N’hésitez pas à nous contacter en privé, je pourrai vous donner plus d’informations. « 

Tellement pratique, non ?

Le twit de la meuf un peu saoulée !

 

Deuxième exemple; par un des grands hasards dont la vie est magnifiquement faite, je me suis retrouvée à accompagner une de mes collègues à Carrefour entre midi et deux. J’en profite pour passer par le rayon fruits et légumes, j’étais complètement à sec. Je prends mes p’tites pommes et ma grenade, les mets dans un de mes sacs réutilisable…. et là, on m’a refusé l’utilisation de sacs réutilisables au rayon bio sous prétexte qu’il faut tout mettre dans des sacs papier. Quand j’explique ma démarche à la personne responsable, elle me répond plus ou moins que je fais ça pour voler et que y’a des caméras et que de toutes façons, c’est comme ça et pas autrement... HUMHUM. J’essaie encore un peu de lui expliquer que pour moi c’est important, que ça n’a pas de sens de refuser ses sacs que tout le monde accepte… En vain. Autant vous dire que la moutarde m’est un poil montée au nez et que j’ai tout reposé devant une situation si absurde.

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Mes sacs pourtant si pratiques !

Je commençais à fulminer à l’intérieur de moi même, Carrefour, le grand leader qui ouvre des magasins bio à tout coin de rue, se targue de faire du vrac (gloups) et rachète greenweez Merci le Green-washing, je me sens bien prise pour une c*nne !

Quand je suis énervée mais que je ne sais rien faire, je twitte (la Sncf doit commencer à reconnaître mon pseudo ehe. Hum.). Et bim, Carrefour me répond directement en me donnant le lien du site pour déposer ma remarque. Alors certes, ce n’est qu’une remarque, mais imaginez, si TOUT le monde, dès qu’il y a un truc un peu foireux ou aberrant de ce genre, envoie un mail et twitte… Ils auront tout intérêt à régler le problème au plus vite !

Grâce aux réseaux sociaux et à l’ère du digital, la e-réputation est super importante car les gens s’informent en ligne et les community manager très réactifs, profitons en pour donner notre avis, questionner, montrer que le consommateur s’intéresse aux compositions des produits, à leur provenance, aux conditions de fabrication… A l’image du hashtag lancé il y a quelques mois « whomademyclothes », n’hésitons pas à questionner les marques et entreprises pour faire avancer les choses !

 

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J’ai testé les serviettes lavables PLiM

Bien que cela fasse un petit bout de temps que je n’ai pas abordé la thématique, celles qui me connaissent savent à quel point les protections hygiéniques alternatives constituent un sujet qui me tient beaucoup à cœur 😀

J’avais notamment rédigé un article pour recenser plusieurs types de protection hygiéniques alternatives ou encore un autre pour déconstruire quelques idées reçues sur la coupe menstruelle. Il y a quelques mois, je suis entrée en contact avec « PLiM« , marque engagée qui milite pour une transparence quant à la compo des tampons et serviettes « classiques » et propose des protections intimes saines, écologiques, fabriquées en France avec éthique.

Grâce à eux, j’ai donc pu donc pu m’essayer à la fameuse serviette lavable et surtout… surtout, tester une nouvelle marque de coupe menstruelle. Et alors là, je peux vous avouer que ça m’a changé la vie.

  1. La serviette lavable

Personnellement, je ne suis pas une grande fan de la serviette hygiénique en règle générale, je n’ai donc pas particulièrement apprécié le port de cette dernière. L’idée était vraiment de tester le produit, son absorption, etc. afin de pouvoir vous faire un retour un peu plus éclairé et aborder le sujet en connaissance de cause.

En l’occurrence, j’ai pu constater qu’elle se fixe bien, n’est pas irritante, absorbe tout à fait correctement le flux et se nettoie très bien. La taille que j’ai reçue (flux moyen +) était un peu trop grande pour moi et pour mon flux menstruel, donc ce n’était pas des plus confortable.

Quid des tissus utilisés pour les protections lavables ? Le coton bio de PliM est certifié GOTS donc issu de l’agriculture biologique, production respectueuse de l’environnement, sans substances toxiques et socialement responsable. La membrane technique imperméable et respirante est certifiée OEKOTEX, donc sans substances nocives (textiles et colorants).

Même si le prix d’achat peut sembler conséquent, il s’agit d’un investissement. Vous n’allez plus racheter un paquet tous les mois, une fois vos serviettes lavables acquises, elles sont supposées avoir une durée de vie de 5 ans. Personnellement je pense que notre santé et notre hygiène intime est un sujet quand même important. On ne devrait pas hésiter à investir quelques dizaines d’euros pour une protection non toxique et eco-responsable. Cependant, rapportés à la durée de vie du produit, un cycle nous « coûte » au final 1 euro… Ca vaaa 🙂

1 serviette coûte environ 17 euros et la marque vous propose des kits à de trois, notamment de serviettes lavables médiums à 66 euros.

Je serais ravie de répondre à vos questions si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas !

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  1. La coupe menstruelle Lunacopine

J’avais rapidement abordé mes petits soucis de fuites dus à la coupe « Meluna » dans un précédent article. Je n’en comprenais pas vraiment la cause, parfois c’était bon, parfois pas. Aujourd’hui je pense avoir partiellement identifié le problème. Cette dernière est beaucoup (beaucoup !) moins souple que la Lunacopine, dont la texture s’apparente plus à une membrane je trouve. Avec ma nouvelle coupe, je l’insère sans aucune difficulté et elle se déploie tout aussi facilement… C’est un vrai bonheur ! Je la trouve beaucoup plus ergonomique et simple à utiliser. Pour toutes celles qui comme moi, rencontrent quelques petites difficultés d’insertion et compagnie…

Au début j’étais un peu réticente à l’idée de prendre une nouvelle coupe menstruelle alors que j’en possède déjà deux (une taille S et une taille M), je me disais que ça faisait de la multiplication de déchets pour rien, etc. Mais en fait, l’autoflagellation ça va bien cinq minutes ehe, clairement une cup, ça se sort tous les mois, ça dure des années... Alors autant qu’elle soit confortable et fiable quitte à repayer une deuxième ou troisième coupe ou accumuler un déchet de plus.

J’ai pris une taille 1 (qui équivaut à la M de Meluna) et elle est vendue au prix de 25 euros ici.

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Life changin’

Voilà, voilà ! J’espère que cet article vous aura été utile, qu’il vous aura permis de vous faire un avis sur les serviettes lavables et un nouveau retour sur la coupe menstruelle !

Je remercie PLiM pour la confiance que l’équipe m’a accordée et je vous souhaite une belle journée.

 

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Constat douloureux / consommation responsable & bien-être

L’année dernière a été assez éprouvante moralement, jeune diplômée, je revenais de 6 mois en Asie et plus particulièrement en Indonésie où j’avais réalisé le stage de fin d’année le plus passionnant, inspirant et important pour moi. Je me sentais pour la deuxième fois de ma vie « à ma place ».

consommation-responsable

Ma vie avait du sens, tout comme ma présence sur terre, ma conscience environnementale s’est décuplée, j’ai compris beaucoup de choses, ai effectué beaucoup de changements dans ma vie.

Les mois qui ont suivis ont été emplis de désillusions et de quelques déceptions, je n’arrivais pas à me projeter dans une carrière professionnelle, à décrocher mon premier emploi, à savoir ce que je voulais faire. J’ai ouvert le blog, j’ai appris beaucoup de choses, cela m’a absolument boostée. Mais si mes émotions pouvaient être instables, il y a une chose qui était constante : ma consommation. Responsable, minimaliste. Je n’avais pas de revenus, peu de moyens et peu d’envies si ce n’est celle de trouver ma place dans (ou à côté :)) de la société.

Depuis septembre, je suis employée. Je consacre mes journées à mon entreprise, je gagne un poil plus d’argent que l’année précédente. Cependant…

J’expérimente un sentiment assez douloureux et je constate que ma sérénité face à une consommation raisonnée et minimaliste était bien plus que je ne le pensais liée à mon état d’esprit.

Aujourd’hui, je ne me sens pas épanouie, j’ai le sentiment de manquer de liberté, de ne plus avoir le temps de me consacrer à toutes ces choses qui me font du bien et donnent du sens à ma vie (le constat sur le blog est consternant, bref). Et quelque chose s’est réveillé en moi, un besoin quasi compulsif d’acheter. Principalement des vêtements.

Quasi tous les jours, j’ai envie de nouveaux vêtements, de nouvelles choses, de posséder du matériel qui me permettrait de modeler, tout du moins d’intervenir sur l’image que je renvoie aux autres. Je me trouve dans une situation étrange où j’ai comme le sentiment « d’avoir le droit » de dépenser, de consommer parce que mes journées de travail sont relativement éprouvantes.

& tous mes beaux discours, ces choses que je trouvais si simples il y a quelques mois à peine, volent en éclat.

Je suis intiment convaincue que le bonheur ne se trouve pas dans la possession, preuve en est, je ne me sens pas vraiment mieux, ni bien, ces dernières semaines.

Je comprends alors que la simplicité volontaire dépend de beaucoup de facteurs, que c’est bien plus compliqué qu’avoir de belles convictions.

Je me suis très très facilement détachée des cosmétiques, des produits d’entretien, je suis satisfaite de mon alimentation et de la façon dont je consomme mais… Les vêtements, c’est un vrai problème. C’est plus simple en été et quand on se sent bien, en phase avec soi-même, connecté avec son environnement.

Je travaille dessus mais je suis profondément convaincue que tant que je n’aurais pas donné du sens à mon quotidien, je pourrais « m’empêcher » d’acheter, mais je ne serais pas en paix avec moi-même.

Mais qui fait mes vêtements ? Dans quelles conditions ? Pour quel prix ? Dans quelle mesure ai-je envie de cautionner cela ?

Pas vraiment de solution ni d’infographies en trois points à vous proposer aujourd’hui, mais je serais ravie d’avoir votre avis et vos retours sur ce questionnement. Si vous êtes dans une démarche zéro déchet, quel est votre talon d’Achille ? Si vous vous intéressez à un mode de consommation plus responsable mais que vous n’y arrivez pas, qu’est-ce qui vous freine ?

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Mes indispensables zéro déchet au travail #1 – le déjeuner

tawashi

Ca y est, cela fait partie de mon quotidien aujourd’hui, je me rends tous les jours au bureau (Youhouuu #gotajob). Nous n’avons pas de cantine sur notre lieu de travail donc deux options s’offrent à nous :

  • Ramener son déjeuner
  • Aller prendre quelque chose à emporter aux alentours

Dans les deux cas, si l’on ne fait pas attention on se rend compte de la quantité de déchets inutiles que l’on produit chaque semaine, si ce n’est chaque jour. Pourtant, pour limiter drastiquement et efficacement la casse, la démarche à suivre est très simple et similaire pour les deux situations :

1. Ramener sa tasse pour la machine à café. On bannit les gobelets en plastique d’un autre temps !

2. Utiliser sa tasse ou ramener un verre/une gourde/une bouteille en verre pour la remplir à la fontaine à eau. Pareil, on ne va pas utiliser un gobelet par jour ou par semaine alors que c’est si simple de ne pas produire ce déchet !

3. Avoir un jeu de couverts dans son tiroir : indispensable quand on déjeune sur place, parfaite parade aux couverts en plastique fournis avec les salades/tartes/plats à emporter.

4. Avoir une serviette dans son tiroir : ne plus prendre automatiquement une feuille de sopalin avec son pique nique (qu’on n’utilise pas une fois sur deux), &pouvoir se passer des serviettes en papier si l’on déjeune à l’extérieur.

5. Garder un sac en toile à portée de main (derrière le bureau, sur l’étagère, dans le tiroir, etc.) pour pallier au sac plastique ou jetables (même en papier…) proposés à l’achat d’un déjeuner à l’extérieur. De plus j’ai enfin fait l’acquisition de petits pochons en toile, qui sont vraiment super et permettent de le donner directement pour que l’on nous mette le sandwiche ou la viennoiserie dedans.

6. Je me suis acheté un petit bol que je laisse au bureau pour pouvoir faire réchauffer mes plats hors de ma boîte de transport qui est en… plastique (le verre est trop lourd et je n’ai pas eu l’occasion d’investir dans une boîte en inox. Cependant en réutilisant des tup’ qui sont de toutes évidence là sans les chauffer, je limite la casse).

Et alors pour le coup, c’est super simple. Tu y penses une fois et après, c’est toujours sur place 🙂 Pas d’excuse, limiter ses déchets au bureau ne demande quasi aucun effort, juste une micro anticipation un jour, un seul !

Vous avez d’autres idées ?

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Infographies à partager : réduire les emballages et ses déchets ♥

Aujourd’hui très peu de blabla, je voulais vous présenter deux infographies à partager que j’ai réalisé pour vous. Quand on veut utiliser des produits plus respectueux de notre peau et de notre environnement tout en réduisant ses déchets au maximum, la salle de bain est le meilleur des terrains de jeux ! Hyper faciles à adopter, les gestes qui nous permettent d’utiliser de supers produits peu coûteux sont nombreux.

 

moins-emballages-salledebains

Les cotons jetables, cotons tiges, brosses à dents en plastique (environ 4.7 milliards jetées par an dans le monde) et protections hygiéniques ( plus de 30 000 000 000 utilisées depuis le 1 er janvier 2016 dans le monde) sont tout autant d’objets éphémères qui polluent beaucoup.Il existe des alternatives hyper simples et peu coûteuses, qui permettent aussi de ne pas être pris au dépourvu par des « oh je n’ai plus de coton » ou encore des « m******* j’ai pas de tampon sur moi ! ». Ouvrez grands les bras aux cotons lavables, à l’oriculi, à la cup ou aux serviettes lavables et à la brosse à dent compostable ou à embouts interchangeables !

 

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 Sur ce, à très vite, soyez heureux ♥

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J’ai fabriqué mes éponges Tawashi zéro déchet !

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Cela faisait des semaines que j’avais envie de me lancer dans la confection d’éponges Tawashi… Toujours en vadrouille, j’attendais de pouvoir retourner chez mes parents récupérer de vieilles fringues et tout mon bric à brac de bricolage (planche, clous, marteaux, pistolet à colle, breeef). J’ai adoré réaliser les tawashis, à savoir que la première était très moyennement une réussite et j’étais plutôt fière de la dernière ! En plus du côté hyper pratique qu’est celui de récupérer de vieux vêtements pour en faire des éponges efficaces, la confection de ces dernières est très agréable. Le fait de tisser ces bandes de tissus est hyper apaisant et à un côté quasi méditation en pleine conscience.

Tu auras besoin d’une planche de bois, quelques clous, un marteau, une paire de ciseau, de vieilles fringues, une règle et un crayon.

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Dans un premier temps, je me suis inspirée de l’article de Luizzati et ai dessiné un carré (après tu peux dessiner un rectangle selon ce que tu veux) de la taille choisie (ici j’ai fait 14 cm). Puis j’ai placé un premier point à 3 cm des angles et ensuite les quatre suivants à 2 cm. Puis on plante les clous sur nos petits points.

Ensuite j’ai découpé de longues bandes de tissus (tu poses ton tee shirt à plat, et bim, on fait des bandes d’une hauteur d’environ 4 cm).

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Une fois le tissage terminé, on rabat les mailles en décrochant un anneau et en le passant dans l’anneau suivant et ainsi de suite jusqu’à avoir fait le tour de votre tawashi.

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Comme vous pouvez le constater, on prend vite le coup de main ! Je suis pas très forte pour les explications mais en même temps, c’est le genre de petites réalisations qui se fait beaucoup au feeling et pour laquelle il n’y a pas besoin d’être une experte en tissage 🙂

Pour les plus tricoteuses d’entre vous, le super chouette tuto de morganours vous apprendra comment tricoter ou crocheter une éponge tawashi avec une laine acrylique.

Ce DIY pour apprendre à réaliser ses tawashis vous a plu ? Vous avez essayé ?

Sur ce, à très vite, soyez heureux ♥

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