Hello !
Il y a quelques semaines, je vous parlais de ce livre (« Crime d’honneur », d’Elif Shafak) que j’avais adoré. Je reviens aujourd’hui avec un nouveau coup de coeur. Comme toujours je ne suis pas très éloquente parce que je ne veux pas trop en dire … Mais je vous recommande vivement de le lire ! Qui, quoi, quand ?
« La petite communiste qui ne souriait jamais » de Lola Lafon
Ce livre est à mi chemin entre l’interview, la biographie et le roman. Au travers des entretiens entre Nadia Comaneci et l’auteure, on retrace le parcours de la gymnaste roumaine, de sa première performance aux JO’s de Montréal à la chute du bloc soviétique dans les années 90…
J’ai adoré le mélange entre les passages consacrés au sport et ceux parlant de la dictature communiste en Roumanie. Cela m’a d’ailleurs donné envie de plus me plonger dans cette période de l’Histoire que je connais mal. J’ai adoré découvrir les performances de Nadia, me plonger dans les vidéos Youtube des enregistrements de ses multiples prestations. C’est un livre dur, très bien écrit et documenté que j’ai pris beaucoup de plaisir à dévorer.
Il n’y a pas grand chose à dire, juste à se laisser porter !
Synopsis par l’éditeur :
Parce qu’elle est fascinée par le destin de la miraculeuse petite gymnaste roumaine de quatorze ans apparue aux JO de Montréal en 1976 pour mettre à mal guerres froides, ordinateurs et records au point d’accéder au statut de mythe planétaire, la narratrice de ce roman entreprend de raconter ce qu’elle imagine de l’expérience que vécut cette prodigieuse fillette, symbole d’une Europe révolue, venue, par la seule pureté de ses gestes, incarner aux yeux désabusés du monde le rêve d’une enfance éternelle. Mais quelle version retenir du parcours de cette petite communiste qui ne souriait jamais et qui voltigea, d’Est en Ouest, devant ses juges, sportifs, politiques ou médiatiques, entre adoration des foules et manipulations étatiques ?
Mimétique de l’audace féerique des figures jadis tracées au ciel de la compétition par une simple enfant, le romanacrobate de Lola Lafon, plus proche de la légende d’Icare que de la mythologie des “dieux du stade”, rend l’hommage d’une fiction inspirée à celle-là, qui, d’un coup de pied à la lune, a ravagé le chemin rétréci qu’on réserve aux petites filles, ces petites filles de l’été 1976 qui, grâce à elle, ont rêvé de s’élancer dans le vide, les abdos serrés et la peau nue.
c’est celui que tu m’as recommandé sur mon blog, effectivement l’histoire doit être prenante, d’autant que cette gymnaste évoluait à mon époque, ça peut être intéressant! Merci pour l’info!
bon dimanche
flo
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Oui ihi, au moins tu constates que je suis constante dans mes recommandations aha 🙂
Ce livre m’a vraiment beaucoup plu !
♥
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