Aujourd’hui je voulais vous parler d’un livre que j’ai lu il y a quelques semaines et que j’ai littéralement adoré. Ce genre d’ouvrage qui reste encore un peu avec vous des jours après avoir lu la dernière ligne, de ceux que vous avez envie de recommander à la terre entière parce qu’on a trop envie d’en parler, d’épiloguer, d’analyser, de contempler…
Ce roman est écrit d’une main de maître et nous plonge dans une belle et tragique histoire familiale quelque part entre un village kurde et Londres. L’histoire est complexe, on navigue de flashback plus ancien à présent, puis à flashback moins ancien, puis à présent, puis à… Vous m’avez compris. Les détails sont riches, l’intrigue prenante et le dénouement époustouflant. On y découvre l’histoire lourde d’une famille à travers trois générations, mêlée de conflits entre traditions et nouvelle culture, de désespoir, d’amour, d’acclimatation… 493 pages divines.
J’ai aimé dévorer ce roman, et encore une fois, je prends le parti de ne pas trop vous en révéler tant j’ai aimé être surprise au fil des pages. J’avais bien évidemment parcouru le résumé figurant au dos (très succin) et avais surtout était très très attirée par la couverture que je trouve absolument magnifique. On a envie de laisser constamment traîner le livre de manière nonchalante afin de pouvoir admirer ces jolis motifs à la dérobée. BREF. L’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ? Avez-vous envie de le lire ?